Compte tenu de la proximité de votre président avec les professeurs et étudiants en génie agroalimentaire, les contacts et échanges en personne sont favorisés. C’est pourquoi plusieurs rencontres sont survenues au cours des dernières semaines pour établir une collaboration entre les deux organisations sur des thématiques communes. L’AIAQ se réjouit par ailleurs de la hausse des inscriptions dans les programmes en génie agroalimentaire, lesquelles ont quasiment doublé depuis 5 ans pour porter le nombre total d’étudiants à 150 en 2015-2016 (http://csbe-scgab.ca/news/item/751-programmes-de-premier-cycle-en-genie-agroenvironnemental-gae-et-genie-alimentaire-gal-du-departement-des-sols-et-de-genie-agroalimentaire).
Mme Christina Ratti, professeur en génie alimentaire, a d’abord été rencontré en octobre pour la féliciter de son élection comme Directrice régionale pour le Québec au sein de la Société canadienne de génie agroalimentaire et de bioingénierie (CSBE/SCGAB). Par la même occasion, il a été question d’arrimer les objectifs de la SCGAB et de l’AIAQ, notamment dans l’organisation d’événements communs. Mme Ratti s’est dite ouverte à collaborer avec l’AIAQ lors de son mandat de 2 ans. Nous verrons où cela nous mènera, mais un début de collaboration est une chose souhaitable en prévision de la tenue de la 5e Conférence internationale sur l’ingénierie agroalimentaire (supportée par la Commission internationale de génie rural) qui se tiendra à Québec à l’été 2020.
Le mois dernier, M. Damien de Halleux, professeur en génie alimentaire, a aussi été rencontré au sujet de l’ancien projet de chaire en bâtiments laitiers de M. Philippe Savoie. Compte tenu maintenant de l’absence d’une ressource qualifiée dans le domaine des constructions agricoles à l’Université Laval et des besoins de main-d’œuvre que nous soulève le MAPAQ dans ce secteur, l’AIAQ espèrerait faire renaître le projet en portant l’idée auprès des groupes pouvant être intéressés par cette démarche. L’AIAQ croit que le moment est opportun alors que les grandes fédérations canadiennes de producteurs ont inscrit dans leurs priorités d’investissement des thèmes tels que la conception durable des bâtiments, l’empreinte environnementale des fermes et l’intégration des nouvelles technologies. Cette démarche s’inscrit dans la suite logique du cours de formation que nous venons d’organiser.
Finalement, le Regroupement des étudiants en génie agroenvironnemental et alimentaire de l’Université Laval (REGAAUL) a été rencontré lors de la même période pour leur distribuer du matériel promotionnel, les inviter au cours de formation et leur proposer une rencontre de présentation de l’AIAQ. Cette proposition a été si bien reçue que deux rencontres sous la forme d’un dîner-conférence ont été réalisées : l’une avec les étudiants en génie agroenvironnemental (21 novembre) et l’autre avec ceux en génie alimentaire (29 novembre). L’AIAQ trouve important que la relève connaisse les bénéfices et les avantages d’être membre AIAQ. Espérons que nous aurons sur leur démonter ce que nous pouvons leur apporter tout au long de leur carrière et que nos deux organisations pourront organiser d’autres événements dans le futur.
Ces rencontres avec le personnel de l’Université Laval sont donc positives du point de vue de l’AIAQ et nous souhaitons continuer d’entretenir ces liens amicaux avec l’établissement d’éducation universitaire.